Je ne m’appelle pas Domenech
23 juin 2010 par Pascal Rogard - audiovisuel
"Je ne m'appelle pas Domenech" cette petite phrase de Jean luc Hess le PDG de radiofrance justifiant la mise à l'écart des humoristes Stéphane Guillon et Didier Porte restera peut-être dans l' histoire des médias.
Fidèle auditeur de la matinale de France Inter et notamment du billet des humoristes, j'ai apprécié leurs chroniques ,tout en étant parfois exaspéré par des phrases injustes, pas droles et simplement méchantes.
Les humoristes sont indispensables à notre hygiène mentale et à une prise de distance matinale avec les propos convenus des habitués des micros entrainés par des coach spécialistes de la langue de bois.
Mais qu'il est difficile de licencier l' humour .
On saura dans quelques mois si Jean Luc Hess et Philippe Val sont des Domenech ou des José Mourinho s'ils ont su reconstruire pour France Inter, une équipe qui gagne des auditeurs,ou changé de joueurs pour mieux perdre.
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Commentaires (2)
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en lettres il est vrai un peu pâlottes, le bandeau rouge en haut de la page dit « liberté d’expression ».
écrire « qu’il est difficile de licencier l’humour » face à une éviction qui constitue une véritable atteinte à la liberté d’expression, est-ce défendre la liberté d’expression?
pas l’ombre d’une molle protestation derrière ce ton patelin, ces mots plaintifs, . Comme tout ça est compliqué (ces deux là n’étaient pas drôles tous les jours, et puis tous ces gros mots!), alors on attend juste de voir si l’audience a monté ou pas.
Vous encaissez les droits d’auteurs, je me demande si vous les défendez.
Vous m’avez mal lu, ni pris connaissance de notre communiqué de presse
Mais quand la critique est de mauvaise foi, elle est insignifiante.